Investisseurs - 22.05.23
Pourquoi investir à Bruxelles
Bruxelles est la capitale d’un petit pays certes, mais qui bénéficie de nombreux atouts qui en font l’un des endroits les plus intéressants où investir en terme d’immobilier en Europe.
Ville au riche passé architectural, siège de nombreuses multinationales et capitale de l’Union Européenne, son image est en constante évolution et attire tous les profils. Cela s’observe notamment par le nombre d’expatriés, toujours croissant, à jeter leur dévolu sur la capitale belge.
Bruxelles, place centrale européenne
La Région de Bruxelles-Capitale possède une position stratégique au centre de l’Europe, entre la France, le Luxembourg, les Pays-Bas, l’Angleterre et l’Allemagne…
C’est une ville où plus de 3500 entreprises internationales ont leurs bureaux. On y trouve également la plupart des institutions européennes. Les travailleurs hautement qualifiés et les expatriés sont légion. Grâce à son réseau routier efficace et de nombreuses liaisons ferroviaires, fluviales et aériennes, la région Bruxelloise est facile d’accès de n’importe quel endroit du monde. D’autre part, le gouvernement et la région font tout pour instaurer un climat des affaires favorable, notamment grâce à des mesures et incitations fiscales.
Une structure qui se prête aux investissements
A Bruxelles, énormément de bâtiments étaient à la base de grandes maisons unifamiliales de villes avec 2, 3 ou 4 étages, qui se transforment tous au fur et à mesure en immeubles de rapport avec plusieurs appartements séparés. Une fois le permis obtenu, ce qui n’est pas mission impossible vu que Bruxelles est en recherche de logements, et pour autant bien entendu que le bien respecte les contraintes du RRU (règlement régional urbain), il est donc assez courant d’obtenir des loyers intéressants par rapport au prix d’achat, voire de faire une plus-value sur une revente du bien à la découpe.
L’immobilier des expatriés, un juteux marché
Contrairement aux capitales des pays voisins, l’immobilier à Bruxelles reste assez abordable.
De ce fait, la présence de nombreux expatriés est un gros atout pour les investisseurs en quête de rendement élevé. Cette population qui n’est souvent à Bruxelles que pour quelques années recherche avant tout des appartements bien situés et de qualité. Le coût n’étant pas vraiment un critère, étant donné que celui-ci est généralement pris en charge par leur employeur. Investir dans un immeuble situé dans un quartier prisé des expatriés, c’est la garantie d’avoir des locataires de qualité, très bons payeurs tout en limitant au maximum le risque de vide locatif.
Le centre-ville, un quartier en vogue.
Les expatriés sont donc une population disposant généralement d’un budget conséquent et désirant une vie sans contrainte. C’est pourquoi ils jettent leur dévolu sur des emplacements exclusifs dans le centre de Bruxelles, pour profiter de tous les avantages de la vie urbaine. On pense notamment au quartier Sainte-Catherine ou Dansaert par exemple, dont les prix se rapprochent désormais de ceux des beaux quartiers du sud et de l’est de Bruxelles.
Mais la richesse culturelle de la capitale attire aussi la population vieillissante habitant les villas de la périphérie bruxelloise, qui dispose elle aussi d’un important capital. Lorsque ces deux publics vont se concurrencer sur le marché immobilier, les prix vont vraisemblablement grimper en flèche, jusqu’à devenir inabordables, comme dans les autres capitales européennes…
Les petites unités ont la côte.
A Bruxelles les petites unités se louent comme des petits pains. C’est assez logique, au vu du nombre de jeunes professionnels à la recherche d’un logement. L’avantage de ces petits studios, c’est leur entretien bien moins coûteux que celui d’un appartement plus grand. Il est en effet moins cher et bien plus simple de rénover 45 m2 que 130 m2.
De plus même si le prix d’achat d’un studio à Molenbeek est moindre qu’à Uccle par exemple, la différence de loyer entre les deux communes ne sera pas si grande que ça.
C’est logique car un studio, aussi petit qu’il soit, va rarement descendre sous les 500€ par mois dans une ville comme Bruxelles.
En résumé, une petite unité dans une commune aux prix modéré offre un meilleur rendement que dans un quartier plus cher !
Les autres quartiers qui montent
Outre le centre de Bruxelles qui se gentrifie à vitesse grand V, d’autres quartiers aux prix encore abordables risquent de prendre beaucoup de valeur dans les années à venir.
La pression immobilière étant de plus en plus forte à cause de la présence de l’Union Européenne, beaucoup d’habitants se replient dans les quartiers voisins de Flagey, la Chasse ou le bas de Saint-Gilles. Le nord de Bruxelles, encore considéré comme plus paupérisé, manque de logements de qualité mais dispose de grands espaces à construire et anciens entrepôts à rénover. Une belle opportunité pour les investisseurs visionnaires !
Surtout aux vu des prix actuels, extrêmement attractifs…
Dédié à 100% aux immeubles de rapport, le plus court chemin du vendeur à l’investisseur.